Une fois devenues de véritables religieuses par leur prise d’habit et leur profession, les Sœurs de Saint-Jacut ne songèrent plus qu’à s’acquitter le mieux possible de leur mission charitable, et s’en remirent à la Providence du soin de faire croître le petit arbre qu’elles venaient de planter. Rien de plus édifiant que cette communauté, dont les membres consacraient tout leur temps au travail et à la prière, s’aidant mutuellement autant que le permettaient leurs emplois du temps respectifs. (…)
Chanoine Guyot p.47-48 (1921)