Du 26 Décembre 2024 (soir) au 30 Décembre 2024 (soir) les sœurs de la Région Sainte Thérèse du Cameroun ont vécu un temps fort de rencontre.
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Une session ‘’Identité et appartenance à la Congrégation des SSCJ’’. Elle a été animée par le père Ferdinand OWONO NDIH, Provincial des missionnaires Oblats de Marie Immaculée de la Province du Cameroun.
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Lancement de la démarche pré-capitulaire concernant le Chapitre 2025. L’animation a été assurée par le père Jean Bernard NZEKE, curé de la Cathédrale ND des Apôtres de Ngaoundéré, spécialiste dans les projets de développement.
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Relecture du travail réalisé par les 6 commissions en gouvernance participative, touchant à divers domaines de la vie en Région.
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27 Décembre, en fin de matinée : bénédiction des nouveaux bâtiments, la chapelle et la grande salle ‘’Yvonne Kernéïs’’ avec les ouvriers apostoliques de la zone de Garoua, les maîtres du chantier, les associés disponibles de cette zone, les sœurs et jeunes en formation, la célébration eucharistique était présidée par l’archevêque de Garoua, Mgr Faustin Ambassa Djodo.
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Paroles fortes retenues sur le thème « Identité et appartenance » ?
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Comme Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus, nous avons des valeurs propres. Prenons le temps de repérer les valeurs qui se retrouvent en chaque communauté SSCJ et l’identifient.
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L’identité se construit, la jeune qui entre au Postulat, puis au Noviciat va apprendre progressivement à appartenir à ce Corps qui a son Histoire, son charisme, sa spiritualité, ses traditions spirituelles. etc… Il y a une manière de faire, propre à chaque Congrégation. Le sens d’appartenance est un sentiment fort.
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La question qui se pose : est-ce que j’aime ma Congrégation ? Qu’est-ce qui prouve que je l’aime ? Cela se traduit dans un engagement concret. Ma Congrégation, c’est ma famille. Nous avons besoin de vivre dans un environnement où l’on se sent reconnu pour exister.
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Une histoire commune : l’éducation, l’histoire vécue.
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Un autre point à ne pas oublier, le fait d’appartenir au même Corps entraîne des droits et des devoirs.
Aujourd’hui, nous africaines, qu’est-ce qu’on écrit dans nos cahiers de maisons ?
On décrit des événements. Que liront les gens de nous ? Quel témoignage
laisserons-nous’ ? Celles qui nous ont précédées ont laissé des traces. Il est temps de s’y mettre à notre tour !
Ces journées ont été dynamisantes. Une soirée de détente a permis de faire briller les richesses culturelles de nos 6 nationalités et de ‘décompresser’ face à un programme très dense.